Clic La route Napoléon - Le vol de l'Aigle 1815

Alors bourg de 3500 habitants, ce lieu est atteint à la tombée de la nuit le 1er jour.

La troupe a quitté le littoral pour se diriger vers le nord. Ce village est traversé dans la matinée du 2 mars, le 2e jour.

Ce village est rapidement traversé le 2e jour. Il porte de nos jours un nom plus long qu'à l'époque de Napoléon

1ère vraie ville qui se trouve sur le chemin de Napoléon. Il y arrive vers midi le 2e jour et apprend une mauvaise nouvelle, la route qu'il comptait emprunter n'existe pas. Il va falloir passer par les sentiers de montagne.

Après le passage du col du Pilon, le groupe fait une courte halte dans cette commune et y acquiert quelques mulets

A 6 heures du soir le 2e jour, l'empereur est dans le village natal d'un de ses anciens compagnons d'armes, le général Mireur tué en Egypte, il rend visite à la mère de celui-ci

Après une courte halte en fin d'après-midi, la marche se poursuit pour franchr le col de Valferrière sous la neige. La commune suivante est atteinte à 10 heures du soir. Napoléon dort tout habillé dans le château local.

Le 3 mars au matin, après avoir passé le col de Luens, la troupe arrive dans une sous-préfecture de ce qui est alors le département des Basses-Alpes. L'empereur déjeune à la sous-préfecture pendant qu'on achète au marché des chevaux et des mulets.

Parti à deux heures de la commune précédente, la troupe longe une rivière et passe près du siège d'un ancien évêché.

Cinq kilomètres plus loin, à 8 heures du soir, Napoléon est accueilli avec enthousiasme par la population.

La marche reprend le 4 mars à 6 heures. Le petit groupe grimpe le col du Corobin et fait une courte dans ce hameau

A midi, Napoléon entre dans la préfecture du département. Il y déjeune et reprend la route en début d'après-midi.

La troupe suit la Bléone jusqu'à un petit village de moins de 500 habitants mais qui possède un château qu'a réquisitionné Cambronne envoyé en avant-garde. On y fait la pause pour la nuit.

Le lendemain dimanche, le départ se fait tôt. Les soldats arrivent vite dans ce village de 600 habitants qu'ils ne font que traverser malgré son nom tentant.

C'est dans le bourg suivant, de plus de 1000 habitants, que se fait une halte

Un peu avant midi, l'empereur atteint une petite ville, évêché jusqu'en 1790 et dotée d'une belle forteresse.

Le repas rapidement avalé, Napoléon poursuit sa route à travers les villages qui jalonnent la route. Il est remarqué dans celui-ci.

La troupe atteint ensuite ce hameau d'Upaix.

Et encore ce village au nom un peu long...

La halte espérée se fait dans cette commune au nom alléchant mais elle est courte

Les Elbois traversent ce dernier village blotti au pied de son château alors que la nuit est tombée.

Enfin, à 11 heures du soir, l'empereur arrive dans le chef-lieu des Hautes-Alpes. Il y dine et y rédige un message aux habitants des départements traversés.

Le 6 mars, la troupe se repose toute la matinée. En début d'après-midi, elle passe le col Bayard avant de traverser ce village.

Au lieudit Les Barraques près de ce village, la troupe fait halte.

L'empereur passe ensuite par Aubessagne qui de nos jours porte le nom du hameau qu'il a traversé

Arrivée à l'entrée de la vallée de Valgaudemar, Napoléon passe par cette commune créée en 1791 par la fusion de 5 paroisses

Après l'entrée dans un nouveau département, il faut installer le bivouac en face du massif de l'Obiou dans ce bourg de 1000 habitants

Au matin du 7 mars, une halte est observée pendant 2 heures dans ce bourg du plateau Matheysin

Des bruits courent qu'un régiment royaliste pourrait empêcher la troupe de passer ce village de 700 habitants mais elle ne fait aucune rencontre

Tout se passe bien aussi au hameau de Pétichet dans la commune de...

C'est finalement dans une prairie, à quelques centaines de mètres de ce village que Napoléon se trouve face à un bataillon du 5e Régiment d'Infanterie de Ligne qui se rallie

Peu après, la troupe grossie, passe devant un des lieux emblématiques de la révolution sans cependant s'arrêter dans la ville

Sur le territoire d'un autre village situé sur un plateau dominant Grenoble, Napoléon reçoit le renfort du 7e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il nomme son colonel général.

Dans le village suivant, Napoléon prend un bain de pieds dans un chaudron en cuivre !

Enfin, à la tombée de la nuit, la troupe arrive dans le chef-lieu de l'Isère. Il y fait une entrée triomphale, les troupes de la place s'étant ralliées aux siennes. C'est la dernière étape de la route Napoléon.