France - Chansons traditionnelles d'après leur fin

Avec mes sabots, dondaine,
Oh ! Oh ! Oh ! Avec mes sabots.

C'est de boire, oui oui oui
C'est de boire, non non non
C'est de boire avant de mourir

C'était un jeu tellement
Tellement amusant
Que tout à coup
Ba da boum

Car jamais pucelage
Perdu n'est retrouvé !

Chancela-t-il peu, chancela-t-il pas ?
Chancela si bien que cette chanson sitôt chanta.

Comme j'étais parti, le petit prince a dit
"Puisque c'est ainsi nous reviendrons lundi"

Dans mon pays y en a de plus jolies
Et ri et ran, ran pa ta plan
Y en a de plus jolies !

Des dames, il ne me dit rien
Des dames, il ne me dit rien
Des demoiselles, beaucoup de bien

Elle riposta d'un soufflet
Sur le museau du camarade.

Enseigne-nous la force plus qu’humaine
Qui fait passer avant tous les plaisirs
Le seul devoir au prix de mille peines ;
Donne à nos cœur les plus vaillants désirs.

Et le père Lustucru,
Qui n'en a pas voulu,
Dit à la mère Michel : vot' chat il est vendu

Et le souvenir que je garde au cœur.

Et les garçons de vingt-cinq ans

Et nous y dormirions.
Et nous y dormirions.
Jusqu'à la fin du monde, lon la.
Jusqu'à la fin du monde.

Fais dodo Colas mon p'tit frère,
Fais dodo t'auras du lolo

Grand saint-Nicolas, si tu ne viens pas
C'est que j'aurai bien grandi, c'est maman qui me l'a dit.

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

J'ai cueilli la rose blanche,
Qui s'en fut la voile au vent :
Elle est partie vent arrière,
Reviendra-z-en louvoyant..

J'en ai du fin et du bien râpé,
Mais ce n'est pas pour ton grand doigt d’pied !

J'entends la pie qui chante
J'entends, j'entends
J'entends la pie chanter

Je suis leur humble serviteur
Pelot qui vous embrasse de cœur

Je vais moi-même (bis)
Pour abattre la tour.

Je veux que dans la bière,
Où sera mon corps,
On y mette un verre,
Rempli jusqu'au bord.

La morale de cette morale
C'est qu'les femmes aiment les cochons

La pénitence est douce,
Nous recommencerons,
Ron, ron,
Nous recommencerons.

La reine a fait faire un bouquet
De belles fleurs de lys
Et la senteur de ce bouquet
A fait mourir marquise

Le loup : « Je prends mon fusil ! J'arrive ! Me voilà ! »

Les gens de la ville, ville, ville
M'ont pris mon panier maman

Les laveuses font comme ça
Et puis encore comm' ça

Les tours de Notre-Dame
Et le clocher de mon pays,
Les tours de Notre-Dame
Et le clocher de mon pays,
Et ma jolie colombe,
Pour avoir mon mari.

Mais je n'en voudrai pas
Vivent la rose et le lilas

Mais je sais qu'la porte
Sur eux se ferma

Moi, je dis que les bonbons
valent mieux que les leçons.

On les plante avec le g’nou,
À la mode, à la mode,
On les plante avec le g’nou,
À la mode de chez nous.

Orléans, Beaugency,
Notre-Dame de Cléry,
Vendôme,
Vendôme

Quand il mourut, chacun le pleura,
Dans son potiron, on l'enterra,
Et sur sa tombe l'on écrivit
Sur la croix : ci-gît
Jean de la Lune

Quatre officiers l'ont enterrée.
Adieu c'en est fait.

Qui n'a fait cette chanson
N'en sont trois jolis garçons
Ils étaient faiseurs de bas, faiseurs de bas
Faiseurs de bas
À cette heure ils seront soldats.

Qu’a laissé prend’ son équipage
Par un corsaire de six canons
Lui qu’en avait trente et si bons !

Reprit sa-, à la volette
Reprit sa-, à la volette
Reprit sa volée

Satan va passer,
Faut vous confesser.
Hélas, lui dit le roi,
Ne pourrais-tu mourir pour moi ?

Si cette histoire vous amuse, (bis)
Nous allons la, la, la recommencer, (bis)
Ohé ! Ohé !

Si tu n'arrives pas à le répéter
Tu seras éliminé(e)
Poissi poissi poissirène
Tu as gagné.

Sonnez les matines !
Ding, daing, dong !

Terre s'ouvrit, terre fendit,
Et ci fut la belle engloutie.

Va, quand tu seras grand
Tu feras le tour du monde
Pour lutter vaillamment contre le vent et la mer

Voici venir l’orage,
Le ciel est noir
Il va bientôt pleuvoir.

Voilà le sort des enfants obstinés

Y avait un prisonnier

Y’a du plaisir chez nous
On pleur’ chez la voisine
On rit toujours chez nous
You!!! Les petits cailloux