Les titres des chansons de Dalida

Vas danser toutes les danses que tu veux
Dans les bras de celles que tu entraines au loin
Vas sourire des sourires merveilleux
Pour les danseuses dont tu tiens la main

*** *** tu me donnes
Tant de joie
Que personne ne m'en donne
Comme toi

Les yeux battus,
La mine triste et les joues blêmes,
Tu ne dors plus,
Tu n'es que l'ombre de toi même,

Ce soir le vent qui frappe à ma porte
Me parle des amours mortes
Devant le feu qui s' éteint
Ce soir c'est une chanson d' automne
Dans la maison qui frissonne
Et je pense aux jours lointains

Adieu Monsieur tout est fini
Quitte moi et refais ta vie
Je préférais la fleur des champs
Toi le soleil de ses vingt ans

Si tu veux couvrir de roses tous ceux que tu vois en gris
Si tu es vraiment morose vient danser le sirtaki

Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter

Nous irons au cœur du monde
Par la poudre et le canon
En comptant chaque seconde

Encore des mots toujours des mots
Les mêmes mots

Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd

Quand on feuilletait naguère
Dans les greniers de nos grands-mères
On découvrait des tas d'objets
Qu'on appelait nids à poussière

Car on pourrait bien nous surprendre
Tu sais très bien
Qu'il ne voudrait jamais comprendre
Que dans nos cœurs moi, j'ai trouvé
Ce que le monde refusait de nous donner

Je vais vous raconter
Avant de vous quitter
L'histoire d'un p'tit village près de Napoli

Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi
Je suis laide sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir

Moi, je vis d'amour et de danse
Je vis comme si j'étais en vacances
Je vis comme si j'étais éternelle

Un homme des sables des plaines sans arbres
S'en va de son pays
Au-delà des dunes courir la fortune

Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien

Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Quand le rideau un jour tombera,
Je veux qu'il tombe derrière moi.

Ils sont venus
Ils sont tous là
Même ceux du sud de l'Italie
Y a même Giorgio, le fils maudit
Avec des présents plein les bras

Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux ou nous étions amis

Cette chanson d'autrefois je la chante pour toi

Tout en haut de la montagne
Ou le ciel est tout en fleur
Enfermé dans un nuage
Tu verras mon cœur
Parle lui du vent d'Espagne
Parle lui de mon amour
Et du fabuleux voyage
Qu'il a fait un jour

Ma complainte c'est la plainte de deux coeurs
Un roman comme tant d'autres
Qui pourrait être le vôtre gens d'ici ou bien d'ailleurs

Y a Jeff qui fait la gueule
Assis sur le trottoir
Depuis qu'il est tout seul
Il est pas beau à voir
Y a aussi la Mathilde
Qu'est jamais revenue
Y a aussi la Mathilde
Qui n’en reviendra plus
Et puis y a la Frida qui n'a aimé que lui
Chez ces gens-là, on est jamais parti

J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux
Ça l'a fait rire

Noyés de bleu sous le ciel grec
Un bateau, deux bateaux, trois bateaux
S'en vont chantant

Un inconnu et sa guitare
Dans une rue pleine de brouillard
Chantait, chantait une chanson
Que répétaient deux autres compagnons

Tu chantais la barcarolle
Tu chantais pour lui et moi
Lui et moi tu te rappelles
Lui et moi c'était écrit
Pour la vie la vie si belle

Oh Papa, quel malheur
quel grand malheur pour moi.
Oh Papa, quel scandale
si Maman savait ça.

C'est vrai que j'ai l'accent qui roule
Des chansons qui roucoulent
C'est vrai, c'est vrai
C'est vrai que je suis italienne
De naissance égyptienne
C'est vrai, c'est vrai