Loi de la productivité marginale ... : les néoclassiques supposent que la productivité marginale finit toujours par être ..., ce qui explique que la productivité moyenne finit elle aussi par décroitre.
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décroissante
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Lorsque l'on analyse la production on a 3 grands types de rendements : - rendements constants (outputs et inputs évoluent proportionnellement l’un à l’autre) - rendements ... (l’augmentation de l’outputs est plus que proportionnelle à l’augmentation de l’input) - rendements dé... (l’augmentation de l’output est moins que proportionnelle à l’augmentation de l’input)
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croissants
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Une entreprise rationnelle va tenter d’... sa production, et donc se questionner sur le niveau de production optimal lorsque les rendements sont décroissants (quelle Q d’inputs pour une entreprise efficace ?).
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optimiser
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Ainsi, le producteur rationnel s’arrête d’utiliser l’input X au point où la valeur de la contribution de l’input (c’est-à-dire la productivité marginale de X) ... le coût d’utilisation de la dernière unité d’input utilisée
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égalise
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Critiques : - conception très réductrice de ce qu'est une entreprise (ici assimilée à un agent économique unique qui est le producteur) - l'entrepreneur est supposé parfaitement ... alors qu'en réalité les comportements ne sont pas tout le temps optimaux --> irréaliste (Friedman répond avec l'hypothèse du as if, selon lui l'hypothèse de maximisation du profit est une bonne approximation du réel)
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rationnel
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III /
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Dans le prolongement de la théorie néoclassique : les théories contractualistes de la firme
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Contrat : un ensemble d'... réciproques
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engagements
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A -
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S'interroger sur les objectifs de l'entreprise et de ses membres : la théorie de l'agence
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Ici place la maximisation du ... ... comme objectif de l’entreprise (plutôt que le profit) car il permet d'être leader sur le marché, et ainsi d’obtenir un pouvoir de négociation que les autres n’ont pas (2 mots où l'acronyme)
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chiffre d'affaires / CA
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En 1932, ... et ... écrivent The modern firm : critique des théories contractualistes, affirment que les grandes entreprises ont la caractéristique importante d’être composées de plusieurs catégories d’individus qui n’ont pas le même objectif.
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Berle / Means
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Ils distinguent ainsi les actionnaires (objectif de maximiser le profit pour maximiser leur rémunération), des ... (conduisent la politique de l’entreprise et pas objectif de maximiser le profit)
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managers
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Cette idée est reprise par des théoriciens de l’... dans les 70s (Jensen et Meckling), qui eux s’appuient sur des idées néoclassiques (conserve l’idée de rationalité forte).
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agence
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La relation entre actionnaires et dirigeants serait un cas particulier des relations d’[réponse précédente] : relation entre deux individus, le ... et l’agent (celui qui possède le plus d’informations), caractérisée par des intérêts divergents et une asymétrie d’informations
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principal
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Ils distinguent différents types de coûts d'agence : - coûts de surveillance et d'incitation : supportés par le principal - coûts d'obligation : supportés par l'agent - perte ... : écart entre le comportement idéal attendu de l’agent par le principal et ce qu’il se passe réellement
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résiduelle
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Pour les théoriciens de l’agence, une entreprise est un ensemble d’individus qui passent des ... en étant soit principal soit agent. On parle de conception ...uelle de l’entreprise. Cette théorie cherche à savoir quels ... sont les plus efficaces pour l’entreprise. (3 fois le même mot - presque). Dans cette conception, la firme n'apparaît pas comme un individu aux motivations propres et la firme n'est pas distinguée du marché.
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contrat
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Pour se poser la question d’efficacité de la firme et optimiser, il faut répartir des fonctions entre les agents économiques : - analyser qui supporte les risques dans les relations contractuelles (fonction d'... du risque) - analyser le pouvoir de décision des individus (fonction de direction/contrôle)
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assomption
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Critiques : cette théorie est très ..., veut laisser les individus optimiser le système, manque de représentation des collectifs, ignore les rapports de domination
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libérale
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B -
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La théorie des coûts de transaction : la firme comme structure de gouvernance privée
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Critique de la théorie néoclassique, ... avance que les prix ne sont pas omniprésents en tant qu’élément de coordination interindividuelle, remettant ainsi en question le modèle néoclassique. La théorie néo-institutionnaliste/des coûts de transaction se développe surtout dans les 70s autour de l’ouvrage de Williamson, lui-même influencé par ... (deux fois le même nom)
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Ronald Coase
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Selon cette théorie, les entreprises émergent parce qu'utiliser le marché est coûteux (coûts de transaction) : - coûts de ... des prix - coûts de ... d'un con-contractant - coûts de négociation des contrats - coûts de sécurisation des contrats (deux fois le même mots)
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recherche
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L'existence des coûts prend sens au regard de l'hypothèse de rationalité limitée. Williamson parle aussi d'... ex-ante (sélection adversaire) et ex-post (aléa moral).
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opportunisme
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Un actif ... est redéployable sans coût : n'a de la valeur que dans des situations très précises (+ il est ... + il coûte cher) (2 fois le même mot)
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spécifique
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C’est donc lorsque la spécificité des actifs est forte que la ... (structure de gouvernance privée) devient le moyen le plus avantageux. Au contraire, pour un faible degré de spécificité des actifs, le marché s’avère plus efficace que la ... pour structurer la transaction (ce sont deux « structures de gouvernance » opposées). (2 fois le même mot) --> Cette théorie a des conséquences normatives en défendant un point de vue différent de celui de la théorie néoclassique : dit que les monopoles existent parfois lorsqu’ils sont efficaces, aux vues des coûts de transaction (recours à la firme plutôt qu’au marché). -> critique des lois antitrust étasuniennes
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firme
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Coase parle de coûts de transaction (recours au marché) et coûts d'... (recours à la firme) tandis que Williamson parle de coûts de transaction/ de ... (écrire les 2 mots à la suite) --> forte opposition de la firme et du marché limites : critique du concept d'opportunisme qui est vu comme irréaliste pour certains auteurs; paradoxe de la rationalité limité; vision contractualiste qui suppose individus libres et égaux.
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organisation gouvernance
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IV /
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L'approche fondée sur les ressources : la firme comme ensemble de compétences
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Citer un auteur de l'approche fondée sur les ressources :
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Penrose / Richardson
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A -
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Opposition entre approche contractualiste et approche fondée sur les ressources
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Dans cette approche, on parle davantage de rationalité ... (objectifs qui évoluent). Prise de décision par tâtonnement, rejet de tout comportement maximisateur.
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procédurale
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Dans cette approche, l'accent n'est pas mis sur l'allocation des ressources mais plutôt sur leur ... (pas forcément un marché dans lequel la firme pourra puiser). Importance du concept de path dependency et phénomènes de lock-in.
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création
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B -
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Ressources, compétences-clé et environnement de la firme
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Ressources : les ... sur lesquels l'entreprise s'appuie pour concevoir et mettre en œuvre sa stratégie.
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actifs
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Il y a les ressources spécifiques (à la firme) et ... (accessibles sur le marché) Aussi distinction entre ressources tangibles (physiques) et intangibles (ex : connaissances)
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génériques
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Compétences : capacité de l'entreprise à combiner les ressources dans l'objectif de produire (naissent des ressources) - compétences individuelles - compétences collectives ou organisationnelles Certaines sont centrales, on parle de compétences-.../.... Avantage compétitif durable (pertinence, rareté, imitation, redéployable, substitution = valeur stratégique)
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clé / stratégique
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C -
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La notion d'apprentissage
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Hamel et Prahalad (1990) soulignent que la stratégie de s’adapter à l’environnement est plutôt conservatrice et défensive en n’incitant pas l’organisation à l’innovation et à l’originalité = risque de problème de survie à long terme (marche que avec grosses entreprises dominantes). On a le concept de stratégie d'... : l’entreprise va chercher à transformer son environnement, ici importance du volontarisme de l’organisation. Le changement devient un objectif et plus une contrainte. On la voit surtout se développer dans les entreprises orientales (JAP) puis se répandre en occident dans les 80s. La notion d'apprentissage est essentielle à cette stratégie.
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intention
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Apprentissage : processus d’... du comportement de l’organisation en réponse aux évolutions de l’environnement, et processus de transformation des compétences organisationnelles permettant d’assurer une cohérence entre organisation, stratégie et environnement
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ajustement
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Argyris distingue deux niveaux d'apprentissage : - routinier / en ... simple : passe par learning by doing et l'imitation (peu novateur) - en ... double : passe par l'expérimentation et la transformation (de l'organisation), dimension révolutionnaire.
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boucle
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