Paroles
|
Chansons
|
Je le sais
Sa façon d'être à moi parfois
Vous déplaît
Autour d'elle et moi le silence se fait
Mais elle est
|
Ma préférence
|
Quelquefois si douces
Quand la vie me touche
Comme nous tous
Alors si douces
|
Femmes ... je vous aime
|
Quand Tony est entré dans le snack-bar
Il devait être au moins minuit moins le quart
|
Lili voulait aller danser
|
J'n'étais encore qu'un teenager
Qu'j'suis parti vivre ma vie en outsider
Mon père voulait me ret'nir
Tout c'qu'il a trouvé à m'dire
|
Coeur de rocker
|
La grande ville Mange la ville La grande vie Mange la vie Marie si belle Marie vaisselle Marie chandelle Plume d'hirondelle
|
Si on chantait
|
Descendez ça c'est défendu, mater chez les gens
Elle crie mais bien entendu y'a jamais d'agent
|
Melissa
|
Elle a l'air tout droit sortie
D'un roman de Chandler
L'autre jour je l'ai suivie
Mais ça n'a pas eu l'air d'lui plaire
|
La fille aux bas nylon
|
______________ s'endort près de la mer et ne connait pas l'été de la mer
______________ est une frontière entre mer et terre le désert et la vie
|
La Californie
|
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
|
Partir
|
Les gens d'ici ne sont pas plus grands
Plus fiers ou plus beaux
Seulement, ils sont d'ici, les gens d'ici Comme cette mélodie
|
This melody
|
Laisse-moi devenir ton amant
Seul montagnard de tes Monts Blancs
Ho ho, de tous tes Monts Blancs
|
Hélène
|
Et si j't'agace, si j'suis trop nul
Je deviendrai tout pâle, tout muet, tout p'tit
Pour que tu m'oublies
|
Fais-moi une place
|
Et c'est comme une tourterelle
Qui s'éloigne à tir d'aile
En emportant le duvet qui était ton lit un beau matin
|
Ce n'est rien
|
Je saurais dire tant de ces choses
Tant de ces mots qu'elle ne dit pas
De sa voix douce à en frémir
|
Si j'étais elle
|
Elle est pas donnée à tout le monde
La chance de s'aimer pour la vie
Dix ans, dix mois, dix secondes
Et nous voici
|
Double enfance
|
Quand je vois les motos sauvages
Qui traversent nos villages
Venues de Californie
De Flandres ou bien de Paris
|
La cavalerie
|
"À quoi sert une chanson si elle est désarmée?"
Me disaient des chiliens, bras ouverts, poings serrés
Comme une langue ancienne
Qu'on voudrait massacrer
|
Utile
|
Vous me voyez
Maillot rayé, la voix soumise
En gondolier
Pagayant pour une cerise
Pour un baiser
|
Elle voulait qu'on l'appelle Venise
|
Ne me demandez pas
D'où je viens qui je suis
Quand on est musicien
On est Jamaïcain
|
Quand je joue
|
Je t'en prie sèche tes joues
Ne pleure pas
Hey! Hey! Hey!
Tu vas faire monter la Seine
Arrête-toi
|
Niagara
|
Et voler c’est pas beau
D’mander la charité
C’est qué'qu’chose j’peux pas faire
|
Travailler c'est trop dur
|
On se guette
Traqués, à bout de souffle marchant
Pétrifiés dans nos manteaux d'hiver
Refoulés aux frontières du mensonge des nations qui crèvent
|
Laissons entrer le soleil
|